•  

    Tu as un énorme travail à faire.

    C'est le travail silencieux de créer plus d'amour dans le monde.

    C'est comme le levain dans la pâte qui fait son travail tranquillement et sans aucun bruit, et pourtant sans lui le pain serait un bloc compact.

    Donc, aime les âmes avec qui tu es, aime ce que tu fais, ton environnement, et aime les âmes qui semblent être tes ennemies.

    Il y a beaucoup plus de grâce à aimer les âmes qu'on ne peut apparemment pas aimer qu'en aimant simplement celles qui vous aiment.

    Ressens le besoin d'amour de chaque âme, et laisse-toi devenir un canal au travers duquel l'amour peut couler pour répondre à ce besoin !

     

    Si chaque personne apprend à aimer au nom de l'amour, le poids du monde sera allégé, car l'amour apporte un élément de légèreté là où il y avait lourdeur et obscurité.

    L'amour commence en chacun, alors regarde dans ton propre cœur et fais-le émerger.

    Donnes-en librement et avec une joie authentique !

     

     

    La petite voix, Eileen CADDY


    9 commentaires
  •  

    Les questions les plus simples

    sont les plus profondes.

     

     

    Où es-tu né ?

    Où est ta maison ?

    Où vas-tu ?

    Que fais-tu ?

     

     

    Réfléchis à ces questions

    de temps en temps, et

    observent tes réponses, qui

    changent.

     

     

    Illusions, Richard BACH


    9 commentaires

  • 3 commentaires
  •  

    Raphaël a divisé le monde des hommes en deux :

     

    les aquabonariens

     

    et les pourquoipassiens.

     

    Pour lui, il y a ceux qui disent «  A quoi bon ? », et qui ne voient que les obstacles à surmonter; et puis il y a ceux qui disent « pourquoi pas ? », et qui ne voient que le but à atteindre.

    Ce qui le rend triste, c'est qu'il y a de plus en plus de aquabonariens, et que ces gens-là, ce sont des assassins. Ils tuent l'esprit d'émerveillement. Ils trouvent un malin plaisir à tout critiquer, à se plaindre de tout, ils baissent les bras à la première occasion, ils sont blasés, ils traversent la vie comme si rien n'avait véritablement d'importance.

    Raphaël les appelle les « négatypes », parce que ce sont des créatures qui ont perdu le contact avec la Création.

    Un jour, Raph', il m'a fait un sermon Carpe Diem-Alléluia-Eurêka, que je suis pas prête d'oublier!

    Voilà ce qu'il disait :

     

    « Ne te laisse pas prendre à ce jeu là, ma petite Jade, tu vaux beaucoup mieux que cela. N'aies pas la sottise de vouloir ressembler à tes contemporains ! Lorsque tu t'éveilles le matin, songe que tu n'as aucune certitude d'être vivante au coucher du soleil... N'est-ce pas la meilleure des raisons pour dire chaque jour merci..., merci de faire que la Terre est parfois si jolie?

    N'est-ce pas une raison pour t'émerveiller de la Vie, sous quelques formes qu'elle s'exprime – fût-ce l'imperceptible frémissement du brin d'herbe dans la brise du soir ?

    N'est-ce pas une raison pour rechercher les grandes occasions, les personnes de valeur et tout ce qui est digne d'espoir?

    N'est-ce pas une raison pour vivre pleinement tes joies et supporter dignement tes peines?

    N'oublie jamais de respirer le parfum de la vie, d'entretenir la flamme de l'allégresse intérieure, d'être sensible à la caresse de l'air lorsque tu te déplaces, et d'emplir tous tes sens des images, des senteurs et des mélodies du monde.

    Oui n'oublies pas de savourer le goût de la vie, son royal nectar butiné sur des fleurs à la splendeur intacte, ce miel à la tiédeur exquise, aux virtualités secrètes et magiques. »

     

    Alors, moi, devant le commandant du Spirit of Wonder, je me suis mise au garde-à-vous, et j'ai lancé comme un serment :

     

    CARPE DIEM ! ALLELUIA ! EURÊKA !

     

     

    Jade et les sacrés mystères de la vie, François GARAGNON


    3 commentaires
  •  

    « Je n'aime pas juger, vous le savez bien. Tous ceux qui ont une place dans ma demeure, et dans mon cœur, je les aime comme des enfants. Et rien ne m'empêchera de continuer à les aimer, quoi qu'il arrive, quoi qu'il en soit.

     

    Il fut un moment, dans ma vie, où j'étais trop souvent déçue par les gens ; j'ai fini par comprendre que ce n'étaient pas les gens qui étaient en cause, mais l'image que j'avais d'eux, l'attente que j'entretenais.

     

    Quand on veut que les autres soient conformes à l'idée que l'on s'en fait, on ne respecte pas leur liberté; on est dans l'accaparement, l'enfermement, autant dire l'erreur.

    J'ai appris la mobilité du réel, le caractère imprévisible de la vie, l'extraordinaire complexité de chaque être.

     

    Aujourd'hui, je désire respecter chacun dans son mystère et jusque dans ses paradoxes. Parce que la seule manière de comprendre un être c'est de l'aimer.

     

    Voilà pourquoi, ceux que j'invite chez moi, je ne leur demande pas de comptes, je ne cherche pas à savoir d'où ils viennent. C'est leur richesse intérieure qui me les rend attachants, rien d'autre. »

     

    Joy et la divine quête du bonheur, François GARAGNON


    7 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique