Vous l'aviez dit...

on l'a fait...

Bien sur, j'aurai aimé que Vous soyez là, avec nous...

C'était important pour Votre reine ce moment... c'était aussi trés important pour moi...

Un grand moment d'émotions... de jolies émotions...

Et ce rayon de soleil, au milieu des grosses averses... juste MERCI...

Vous étiez un grand Homme... un Homme qui aura marqué ma vie...

Alors, oui, juste là où vous êtes... je pense à Vous...

souvent...

et je sais que je ne sais rien...

Nous passons beaucoup de moments dans notre vie à gémir sur le temps présent, à nous plaindre de l'injustice ou de l'incertitude du sort, à critiquer le monde qui nous entoure, à nous alarmer de signes indubitables et fâcheux.

Nous appelons cela lucidité, devoir de conscience, sens des responsabilités, esprit critique.

Pourtant ces nobles appellations masquent mal le défaut de notre cuirasse : nous ne grandirons jamais en optant pour le camp des « enténebreurs ». L'homme qui possède la richesse du dedans appartient au camp des « réenchanteurs » : il fait prospérer sa vie en semant la joie dans la vie des autres.

Les pensées revigorantes, François GARAGNON

merci du partage Nicole

Au Tibet, les moines et les moniales vont jusqu'à offrir des prières de gratitude pour la souffrance qu'on leur a infligée : « Puissé-je avoir assez de souffrance pour éveiller en moi la compassion et la sagesse la plus profonde .»

Le but de la vie spirituelle est d'éveiller une liberté joyeuse, un cœur bienveillant et compatissant en toutes circonstances.

Jack KORNFIELD

Les questions les plus simples

sont les plus profondes.

Où es-tu né ?

Où est ta maison ?

Où vas-tu ?

Que fais-tu ?

Réfléchis à ces questions

de temps en temps, et

observent tes réponses, qui

changent.

Illusions, Richard BACH