Le pessimisme assombrit le monde de ses funestes prédictions, en considérant que si le pire n'est jamais sûr, il est en tout cas probable aussi sort-il toujours avec le parapluie de la méfiance, y compris lorsqu'il fait beau. À force d'être sur la réserve, le pessimiste laisse le monde se faire sans lui : il préfère même s'en faire oublier.

L'optimiste, lui, a une vision lumineuse du monde, dont il a décidé de déceler les promesses plus que les menaces, en préférant s'attarder sur l'ouverture des possibles que sur le blocage des situations ou le verrouillage des individualismes.

Le pessimisme est repli résigné, l'optimisme est confiance engagée et parfois conquérante.

C'est assurément la douce folie qui berce le cœur des optimistes, mais se priver de cette folie là , ne serait ce pas péché capital, honteuse capitulation sur le champ de batailles de l'espérance?

Oui, sans cette douce folie, ne serions-nous pas guettés par le racornissement de l'âme ou une déperdition de notre énergie vitale qui nous amèneraient à renoncer à faire de nos rêves des réalités.

Les pensées revigorantes, François GARAGNON

Merci du partage, Nicole.

Et juste, je confirme... la douce folie optimiste...

une illustration juste pleine de souvenirs de Folie... ;-)...

L'art de vivre...

ce n'est ni se laisser aller avec insouciance,

ni rester craintivement figé dans le passé.

C'est être sensible à chaque instant,

le regarder comme quelque chose de totalement nouveau et unique

et garder l'esprit ouvert et totalement receptif.

Allan WATTS

En recherchant une image, voilà ce que j'ai trouvé !!

j' ai trouvé ça excellent !!!!!

Il n'y a qu'un monde, le monde qui fait pression sur vous en cette minute.

Il n'y a qu'une minute où vous êtes vivant, cette minute ici et maintenant.

La seule façon de vivre est d'accepter chaque minute comme un miracle

qui ne va pas se répéter.

Storm JAMESON

Quand nous voyons à quelle vitesse

les jours défilent,

la vie devient d'autant plus précieuse;

l'or lumineux d'un coucher de soleil,

l'érable de l'automne,

le regard de notre bien-aimé.

Jack KORNFIELD