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    Ne pas s'incliner devant ce qu'on appelle le destin.

     

    Prendre dans l'événement qui nous frappe ce qui est une poussée de force pour nous, pour les autres.


    Ne pas subir ce qui paraît nous écraser.

     

    Mais au contraire tenir à pleines mains, cette dalle qui est pour nous : la soulever à bout de bras.

     

    Vouloir le faire.

     

    Vouloir rejeter cette lourde dalle pour voir enfin le ciel. Et chacun de nous peut voir son ciel.


    La vie : chacun de nous en fait une expérience nouvelle, personnelle. Et de toute expérience, dure ou douce, l'homme doit tirer du bien.

     


    Il n'y pas d'événement qui soit vain dans la vie. Pas de jour, pas d'épreuves qui soient inutiles.

     

    À condition qu'on ne les contemple pas, fascinés, immobiles comme l'est une proie d'un serpent, mais qu'on se serve d'eux comme un appui pour aller plus avant. “

     

     

    Martin Gray

     

     

     

     


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    Laisse de coté tous les chiffres non indispensables à ta survie

    Cela inclut l'âge, le poids et la taille.

    Que cela préoccupe seulement le médecin. Il est payé pour ça.


    Fréquente, de préférence, des amis joyeux.

    Les pessimistes ne te conviennent pas.


    Continue de t'instruire...

    Apprends tout, sur les ordinateurs, l'artisanat, le jardinage, etc...

    Ne laisse pas ton cerveau inoccupé.

    Un mental inutilisé est l'officine du diable.


    Ris le plus souvent possible. Et surtout de toi-même !

    Quand viennent les larmes : accepte, souffre et... continue d'avancer.


    Accueille chaque jour qui se lève comme une nouvelle opportunité

    Et, pour cela, ose entreprendre !


    Laisse tomber la routine.

    Préfère les nouvelles routes aux chemins mille fois empruntés.


    Efface le gris de ta vie

    Et allume les couleurs que tu possèdes à l'intérieur.


    Exprime tes sentiments pour ne jamais rien perdre des beautés qui t'entourent.

    Que ta joie rejaillisse sur ton entourage. Et abat les frontières personnelles que le passé t'a imposées.


    Mais rappelle-toi:

    l'unique personne qui t'accompagne toute la vie, c'est toi-même.


    Sois vivant dans tout ce que tu fais !


    Entoure toi de tout ce que tu aimes : famille, animaux, souvenirs, musique, un hobbie, tout ce que tu veux...


    Ton foyer est ton refuge, mais n'en devient pas prisonnier.


    Ton meilleur capital, la santé.

    Profites-en. Si elle est bonne ne le détruis pas ; si elle ne l'est pas , ne l'abîme pas davantage.


    Sors dans la rue. Visite une ville ou un pays étranger...

    Mais ne t'attarde pas sur les mauvais souvenirs.


    Ne laisse passer aucune occasion pour dire « JE T'AIME » à ceux que tu aimes.

    Et dis-toi toujours que la vie ne se mesure pas au nombre de tes respirations mais à celui des instants ou ton cœur bat très fort : de rire... de surprise... d'extase... de joie

    Et surtout d'aimer sans compter.


    « J' ai mis toute ma vie à savoir dessiner comme un enfant »

    PICASSO


    « On devient jeune à 60 ans malheureusement c'est trop tard »

    PICASSO


    « Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester artiste en grandissant »

    PICASSO


    « Il y a des êtres qui font d'un soleil une simple tache jaune, mais il y en a aussi qui font d'une simple tache jaune un véritable soleil »

    PICASSO

    juste merci Christophe... et juste pas de hasard...


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  • Adossé à un chêne liège
    Je descendais quelques arpèges
    En priant Dieu, Bouddha que sais-je
    Est-ce que tu penses à nous un peu?

    Le monde est aux mains de stratèges
    Costumes noirs, cravates beiges
    Et turbans blancs comme la neige
    Qui jouent de bien drôles de jeux

    Il y a dans nos attelages
    Des gens de raison de courage
    Dans tous les camps, de tous les âges
    Dont le seul rêve est d'être heureux

    On a dressé des cathédrales
    Des flèches à toucher les étoiles
    Dit des prières monumentales
    Qu'est ce qu'on pouvait faire de mieux?

    Etes-vous là, êtes vous proches
    Ou trop loin pour entendre nos cloches?
    Gardez-vous les mains dans les poches
    Ou est-ce vos larmes quand il pleut?

    D'en haut de vos très blanches loges
    Les voyez-vous qui s'interrogent
    Millions de fourmis qui pataugent
    La tête tournée vers les cieux?

    Sommes-nous seuls dans cette histoire
    Les seuls à continuer à croire
    Regardons-nous vers le bon phare
    Ou le ciel est-il vide et creux?

    Adossé à un chêne liège
    Pris comme dans les fils d'un piège
    Je descendais quelques arpèges
    Je n'avais rien trouvé de mieux

    Où êtes vous dans l'athmosphère?
    On vous attend, on vous espère
    Mais c'est le doute et le mystère
    Que vous m'aurez appris le mieux

    Adossé à un chêne-liège
    Je descendais quelques arpèges
    Par un après-midi pluvieux

    Je descendais quelques arpèges
    Par un après-midi pluvieux....


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